mercredi 18 juin 2008

La vieillesse de la vingtaine

Salut. Si quelqu'un sait comment mettre des alinéas sur cette pateforme de blog. Quand j'étais sur over-blog je savais mais là...

Samedi soir. Un pote que j'aime pas ( comment le designer autrement que pote, " Sale con", "Faux cul", "radin", egoiste", "Je tuerai mes amis et ma famille pour niquer avec une fille car je suis puceau à 22 ans et je le merite"...). La parenthese fut longue, j'en ai perdu ma phrase... Bon ce gars m'invite à sortir avec un autre pote ( un vrai celui-ci) en boite en belgique. Allez on ramasse la premiere chemise qui vient, le premier jean et les chaussures de villes. Je ne suis pas sorti depuis des siècles, alors bien que je ne peux pas supporter le gaillard et flairant la soirée foireuse, me voilà embarqué dans la voiture.

Nous arrivons vers les 23h, nous arrivons les premiers, j'aime pas avoir l'air d'un con. Musique déjà insupportable. On se pose dans un box, un coca s'il vous plait. " Un septante cinq." Comment ? 1€75. Très bien. Ca va c'est pas cher. Le monde arrive. Les premières predatrices sexuelles s'echauffent sur la piste de danse. Avec mon vrai pote on s'absente aux toilettes pour délibérer et dégeuler derriere le dos du connard ( Et ouais attitude feminine, bouuuuuuuuuuh ). A notre retour, trois filles sont assises autour de lui. une vieille et deux jeunettes. 17 ans pas plus. D'un geste viril et autoritaire, je les dégage bien gentillement. Et c'est parti pour 1 heure d'exaltation comme quoi une des mère de l'une des nanas le trouve craquant et veut arranger un coup avec.

La mère = Pathetique
La fille= La honte.
Le pote con = Pathetico-chiant.

Le reste de la soirée ressemble a un documentaire animalier d'un petit chien qui tourne autour de sa promise. On l'a laissé faire ses conneries. Il est 5h mon pote crevé par les exams et moi crevé par le fait que j'arrive plus à m'amuser en boite faisont le forcing pour bouger. Après une forte resistance nous reussions a convaincre le pote qu'il arrivera pas à tirer son coup vu qu'il a même pas été lui parler et qu'il s'est contenter de la matter comme un crevard.

Nous arrivons près de notre ville et on voit des gendarmes dans un rond point. Bizarre. Oh ! une grande limousine blanche. Vu qu'on habite dans une région economiquement sinistrée, ça ne peut être qu'une célébrité ou les E.T. Voilà. Fin de soirée. Pas envie d'écrire correctement ce soir.

Ah oui, j'ai pas posté avant car j'ai mis deux jours à recuperer. Trop crevé. J'ai jamais été fatigué à 23 ans.

dimanche 8 juin 2008

Le flemmard

Il y a des jours où vous avez juste envie de vous étaler sur le canapé avec des cochoneries à avaler dans une main et la télécommande pour zapper. Vous êtes invité à sortir avec des potes mais y'a pas moyen de décoller, la flemme c'est trop bon. Le problème intervient quand vous êtes tout le temps comme ça. C'est mon cas ( ah ! Horreur ! ). Prenons le cas ce week end. Depuis plusieurs semaines, ce week end est marqué dans mon agenda par tous les évenements sportifs de ce premier début de juin. La fin de Rolland Garros, le début de l'euro, de quoi rien faire de ses journées.
Vendredi soir. Un gars que j'ai connu au collège et que j'ai revu il y a quelques semaines après plusieurs années sans nouvelles m'invite à aller faire un bowling avec sa copine et la soeur de sa copine. TILT ! Il ne m'a fallu qu'un dixieme de seconde pour detecter le plan foireux de la nana qui veut caser sa soeur ( ca cache une tare ça ). Je repousse l'invitation en esquissant une excuse peu convaincante. Quelques heures plus tard je reçois un sms de la soeur de la copine à ma connaissance et voilà qu'elle me dit que c'est dommage que je ne vienne pas, blablabla, qu'elle peut venir me rechercher et me ramener ( mais au secours quoi, enfermez moi chez moi !). Ce sms conforte ma décision et je passe ma soirée à me goinfrer chaleureusement.
Samedi matin. Sms d'un très bon pote qui m'annonce une soirée ( soirée dans la partie de France où j'habite, ça veut dire un vieu bal où il y a un vieux dj qui valse entre les derniers tubes commerciaux et l'accordeon ). LA flemme. J'esquisse de nouveau une excuse comme quoi j'ai autre chose à faire (je sais pas comment ils font pour me croire au vu du nombre de fois où je refuse).
Finalement, un week end de glande et de sport, bien enfermé chez soi. Aucune envie de sortir, aucune envie de plaire, pas envie de vomir après une cuite, pas envie de baiser ( j'habiterai Paris peut être que ce serait different loin des bans de poissons qu'on se coltine ici) . Seulement voilà, c'est pas une vie que de passer ses week end chez soi. Alors je vais tâcher de changer ça.